Aperçu des débouchés au Mexique
Un aperçu de l'économie du Mexique
Le Mexique, qui compte 125,9 millions d'habitants jusqu'ici en 2019, est le 11e pays le plus peuplé au monde. Le pays a affiché un produit intérieur brut (PIB) de 1,6 T$ CA en 2018, et un taux de croissance annuel de 2 %. Le Mexique est le 5e plus important partenaire du Canada pour ce qui est du commerce de marchandises à l'échelle mondiale (8,2 G$ CA en 2018) et le 2e plus important partenaire du Canada de l'Amérique du Nord et de l'Amérique latine, après les États-Unis (É.-U.).
Le Mexique est un exportateur net de produits agroalimentaires et de produits de la mer. En 2018, le Mexique a affiché un excédent commercial pour les produits agroalimentaires et les produits de la mer de 8,9 G$ CA; les exportations et les importations totalisaient respectivement 45,5 G$ CA et 36,6 G$ CA. Il s'agit d'une augmentation de 18,5 % par rapport à 2014, alors que le Mexique était un importateur net, affichant un déficit commercial de 2,3 G$ CA pour ce qui est des produits agroalimentaires et produits de la mer. Les trois principaux pays fournisseurs sont les États-Unis, le Canada et la Chine, et les principaux produits sont le maïs, le soja, le blé, le porc frais et le bœuf frais.
Le Canada demeure l'un des principaux fournisseurs de produits agroalimentaires et de produits de la mer (2e en importance après les États-Unis, soit 2,5 G$ en 2018) au Mexique, ayant connu une hausse à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 4,1 % comparativement à un taux de croissance de 3,4 % aux États-Unis, au cours des cinq dernières années (2014-2018). Le Canada détenait une part de marché correspondant à 6,8 % de l'ensemble de l'approvisionnement du Mexique en produits agroalimentaires et produits de la mer. Le Mexique a importé pour 1,1 G$ CA de produits agroalimentaires et boissons transformés en provenance du Canada, notamment du porc frais, du bœuf frais, de l'huile de canola, du malt et des frites surgelées.
Principaux débouchés au Mexique
Pour en apprendre davantage, notamment sur les forces, les débouchés et d'autres considérations relatives aux produits agroalimentaires et de la mer canadiens, consultez nos rapports sur la page Information sur les marchés agricoles et alimentaires - États-Unis et Mexique.
Comment choisissons-nous les secteurs prioritaires?
Les secteurs prioritaires ont été sélectionnés au moyen d'une analyse quantitative des données statistiques disponibles dans la base de données Global Trade Tracker pour 2018. La première étape consistait à cerner les 100 produits prédominants parmi l'ensemble des produits agroalimentaires et de la mer, en excluant ceux que le Canada n'a pas la capacité de produire. Chaque produit a été évalué en fonction d'une série de critères quantitatifs (c.-à-d. la taille du marché, la croissance du marché, l'intensité des échanges commerciaux du Canada), qui ont tous été classés d'après des données commerciales historiques sur une période de cinq ans. Les 100 principaux produits agroalimentaires et produits de la mer déterminés selon cette méthode représentaient 65 % de toutes les importations du Mexique, et 95 % des importations du Mexique en provenance du Canada en 2018.
Dans notre évaluation des débouchés commerciaux possibles, nous nous sommes concentrés sur les forces et les défis commerciaux :
- Les forces ont été définies en fonction des indicateurs de rendement élevé et de croissance élevée dans les grands secteurs d'importation du Mexique. Parmi les autres secteurs d'intérêt, mentionnons ceux touchés par des accords de libre-échange, comme l'Accord de partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) avec 10 pays et l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM), qui n'a pas encore été ratifié. Les exportateurs de produits canadiens vers le Mexique pourront choisir l'accord de libre-échange (ALE) qui offre le meilleur traitement préférentiel pour leurs produits, y compris les règles d'origine et les mesures tarifaires pertinentes. Toutefois, en général, l'ALENA accorde déjà un accès sans taxe douanière au Mexique pour la plupart des produits agroalimentaires canadiens, à l'exception de quelques produits comme la volaille, les œufs, les produits laitiers et le sucre (pour lesquels ces conditions devraient demeurer sous le régime de la ACEUM). Dans le cadre du PTPGP, le Mexique a établi certains contingents tarifaires (CT) qui permettent l'importation en franchise de droits limités de certains produits laitiers en provenance des membres du PTPGP (dont le Canada).
- Les défis ont été définis en fonction des obstacles auxquels l'industrie pourrait faire face en tentant de tirer profit de débouchés commerciaux, notamment celui d'offrir des produits de spécialité de grande qualité, mais à des prix concurrentiels.
À la deuxième étape, les produits ont été classés de façon plus détaillée en super secteurs et ont souvent été évalués en collaboration avec les équipes de mobilisation sur le développement des marchés internationaux (EMDMI) et les délégués commerciaux, ainsi qu'en partenariat avec les experts provinciaux du Consortium d'analyse des marchés d'exportation (CAME) à l'échelle d'Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC). Les experts ont souvent évalué les possibilités et cerné les défis encore présents.
Tous les principaux produits agroalimentaires et produits de la mer importés par le Mexique étaient des produits que le Canada avait la capacité de produire et d'exporter.
La croissance par les produits alimentaires transformés
Le Mexique est un marché attrayant pour l'industrie canadienne de la transformation des aliments et des boissons. Le marché mexicain des importations alimentaires est vaste, accessible et la plupart des produits alimentaires canadiens peuvent être importés sans taxe douanière au Mexique. La demande de produits alimentaires canadiens a augmenté rapidement au cours des 25 dernières années, depuis l'introduction des systèmes de distribution alimentaire dans les supermarchés au Mexique. Grâce à l'élimination des barrières tarifaires douanières, les produits alimentaires transformés sont régulièrement exportés dans toutes les régions du Canada vers le Mexique.Note de bas de page 1
Le Mexique est l'un des principaux partenaires commerciaux du Canada. Les exportations de produits alimentaires, de produits de la mer et de boissons transformés continuent de croître rapidement. En 2018, la valeur des aliments et boissons transformés fournis par le Canada au Mexique s'élevait à 1,1 G$ CA, avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 7,4 % depuis 2014. Parmi les produits ayant connu la plus forte croissance dans le monde, avec des TCAC supérieurs à 11 % au cours de la période de cinq ans visée, mentionnons le malt (SH : 110710), les préparations alimentaires pour animaux, à l'exclusion des animaux pour chiens et chats conditionnés pour la vente au détail (SH : 230990), la bière de malt (SH : 220300), les fromages râpés ou en poudre (SH : 040620) et les filets de tilapias congelés (SH hH: 030461).
De tous les produits agroalimentaires et boissons transformés du Canada destinés au marché international (y compris les produits de la mer), 5,0 % ont été expédiés au Mexique en 2018.
En 2018, les principales exportations canadiennes d'aliments et de boissons transformés vers le Mexique représentaient 48,5 %, ce qui comprenait les jambons frais et épaules et leurs morceaux (197,3 M$ CA), le bœuf frais désossé (100,8 M$ CA), l'huile de canola (78,7 M$ CA), le malt (75,8 M$ CA) et les frites surgelées (69,8 M$ CA).

Description de l'image ci-dessus
- Jambons frais ou congelés, épaules et morceaux : 197,3 M$ CA (18.3 %)
- Bœuf frais ou congelé (désossé) : 100,8 M$ CA (9.4 %)
- Huile de canola : 78,7 M$ CA (7.3 %)
- Malt : 75,7 M$ CA (7.0 %)
- Frites surgelées : 69,8 M$ CA (6.5 %)
Source : Global Trade Tracker, 2019
Le Mexique cherche à diversifier ses sources d'importation, ce qui donne l'occasion aux exportateurs canadiens de positionner favorablement leurs marques canadiennes d'aliments et de boissons. Dans le secteur du commerce de détail, il existe des débouchés pour les produits de santé et de mieux-être, les aliments emballés pratiques et prêts à manger ou prêts à cuisiner, les produits de marque de distributeur ainsi que les superaliments santé distinctifs et les produits de spécialité prêts à cuire de qualité supérieure. En ce qui concerne le secteur de la restauration (hôtels, restaurants et institutions), les Canadiens pourront également tailler une place à leurs produits de spécialité de qualité, des restaurants haut de gamme ainsi que des hôtels haut de gamme et des petits hôtels de type « boutique » où les services sont offerts à la carte (« plan européen ») dans les grandes villes et les régions touristiques mexicaines.
La concurrence du Canada
Le Mexique est un marché concurrentiel et sensible aux prix. Pour réussir, les exportateurs canadiens doivent identifier des créneaux de marché et se concentrer sur des prix concurrentiels et sur les caractéristiques uniques de leurs produits. Il peut s'agir d'avantages nutritionnels, de saveurs particulières, d'autres attributs innovants, de l'uniformité de l'approvisionnement et de la livraison, etc. Au moment d'élaborer leur stratégie d'entrée sur le marché, les exportateurs canadiens pourraient également envisager de nommer un agent, un représentant ou un distributeur autorisé pour promouvoir leurs produits et leurs services au Mexique. Cela pourrait aider les exportateurs canadiens à accroître leur importance sur le marché, à améliorer leur service à la clientèle et à obtenir des renseignements commerciaux sur le terrain, tout en recevant une rétroaction directe sur leurs produits.Note de bas de page 2
En 2018, le Mexique a importé d'autres pays pour 21,6 G$ CA d'aliments et de boissons transformés, dont 5,0 % (1,1 G$ CA) en provenance du Canada. Parmi les principaux concurrents, mentionnons les États-Unis, la Chine, le Chili, l'Espagne et le Brésil. Le Mexique dépend énormément des importations de grains, d'oléagineux et de viande. Le Canada jouit d'un avantage considérable comme producteur de nombreux produits de grande qualité dans les secteurs des grains et des oléagineux. Toutefois, il y a une forte concurrence pour des produits comme le porc, le bœuf, le poisson et les fruits de mer, la bière, le vin et les spiritueux et pour d'autres préparations alimentaires comme le sucre raffiné/les confiseries ainsi que les préparation de soupe et de bouillon en conserve.
Pays | Part des produits importés par le Mexique (%) | Les trois principaux aliments et boissons transformés importés par le Mexique (part en %) |
---|---|---|
États-Unis | 66,9 | Jambons frais, épaules et morceaux (7,8), lait écrémé en poudre (6,0), huile de soja (6,0) |
Chine | 3,1 | Filets de tilapias congelés (35,2), piments séchés (11,6), thon, listao et bonite de l'Atlantique en conserve (10,0) |
Chili | 2,6 | Filets de saumon du Pacifique congelés (20,4), pêches en conserve, y compris nectarines (13,0), vins de raisins frais (10,0) |
Espagne | 2,5 | Vins de raisins frais (17,0), huile d'olive vierge (13,1), spiritueux à base de vin distillé (11,2) |
Brésil | 1,6 | Morceaux et abats comestibles de volaille congelés (69,6), morceaux et abats comestibles de dindons et dindes congelés (8,4), sucre de canne ou de betterave et saccharose pur (5,3) |
Source : Global Trade Tracker, 2019. |
Les principaux compétiteurs commerciaux du Canada dans le marché de l'importation mexicain sont les États-Unis, la Chine et le Chili. Bien qu'il soit le principal partenaire commercial du Mexique pour les produits du canola, le sirop et le sucre d'érable, les produits de l'avoine et du homard, la levure vivante ainsi que les graines de moutarde et les graines à canaris, le Canada peut aussi concurrencer les principaux fournisseurs de bœuf, de blé, de légumineuses et de produits de boulangerie-pâtisserie.
Dans le secteur du bœuf et du veau, plus particulièrement, le Mexique a importé 84,3 % de ses produits du bœuf des États-Unis en 2018, et seulement 9 % du Canada. Cependant, le Canada a la capacité de produire suffisamment de bœuf pour répondre à la demande nationale et augmenter son volume d'exportation, puisque le pays n'a recours à aucune source d'importation. Par contre, les États-Unis n'ont pas la capacité de production nécessaire pour suffire à la demande nationale (comme c'est souvent le cas) et ont importé 11,4 % de leurs produits du bœuf en 2018. De plus, on dit que les consommateurs mexicains accordent une grande valeur à la qualité des produits agroalimentaires canadiens. Les produits issus du Canada jouissent d'une excellente réputation sur la scène internationale, ce qui pourrait donner un avantage concurrentiel à de nombreuses entreprises souhaitant commencer à exporter des produits ou accroître leurs exportations vers le Mexique. Il est à noter que les établissements canadiens de transformation de la viande qui veulent exporter au Mexique sont tenus d'inscrire leur entreprise sur la liste des établissements admissibles du Mexique. Les exportateurs canadiens doivent communiquer avec leur bureau régional de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) pour compléter ce processus.
Aussi, le Canada a la capacité d'accroître sa part de marché au Mexique, notamment pour ce qui est des aliments pour animaux de compagnie (principalement sur le marché de niche des produits haut de gamme), qui représentaient une part de marché de 13,2 % en 2018, ainsi que pour le sucre de canne ou de betterave (15,5 %), un approvisionnement limité en bière, les spiritueux et le vin (0,5 %) et possiblement les pommes fraîches (0,2 %). Dans le cas des aliments pour animaux de compagnie, les produits exigeraient un enregistrement préalable auprès des autorités mexicaines de santé animale (SENASICA) avant de pouvoir être importés au Mexique.
De plus, il est important de noter, qu'il y a certaines préoccupations au sujet de certains ravageurs, les pommierculteurs de l'Est du Canada (y compris l'Ontario, le Québec, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick) doivent se conformer au plan de travail phytosanitaire en place entre le SENASICA et l'ACIA, afin d'être autorisées à exporter des produits de pommes au Mexique. Ce plan de travail comprend l'obligation de soumettre les pommes à un traitement au froid et à une vérification préalable par un inspecteur du SENASICA, afin de vérifier que ce traitement a été appliqué en conséquence. Les dépenses de la vérification doivent être couvertes par les exportateurs canadiens et les résultats sont valides pour une période de deux ans. Par ailleurs, les pommes de la Colombie-Britannique ne sont pas tenues de se conformer à ce « plan de travail ou à cette vérification préalable au dédouanement » pour être admises au Mexique.Note de bas de page 3
En ce qui concerne le secteur de la bière, les spiritueux et le vin, les débouchés pourraient être limités puisque les boissons alcoolisées canadiennes ne sont pas aussi bien connues au Mexique et font face à des producteurs nationaux et internationaux bien établis et les joueurs de ce secteur font face à des prix compétitifs au niveau international. Pour réussir dans ce secteur, les exportateurs canadiens devraient être prêts à investir des ressources significatives dans la promotion et à développer la demande pour leurs produits.Note de bas de page 4
Débouchés pour le Canada : ALENA, PTPGP et ACEUM
Le 8 mars 2018, le Canada a signé l'Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) avec 10 pays, soit le Mexique, l'Australie, le Brunei, le Chili, le Japon, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour et le Vietnam. Le 30 décembre 2018, le PTPGP est entré en vigueur. Parmi les six premiers pays à ratifier l'accord, on compte le Canada, l'Australie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et Singapour, par laquelle le Vietnam étant entré en vigueur le 14 janvier 2019.
Le PTPCG constitue une étape importante pour ce qui est de resserrer les liens en matière de commerce et d'investissement entre le Canada et le Mexique. Les producteurs canadiens pourraient enregistrer des gains notables en augmentant leur part de marché au sein d'économies comme celles du Mexique. Aux termes du PTPGP, certains produits canadiens qui ne bénéficient pas d'un accès préférentiel en vertu de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) peuvent être exportés au Mexique en franchise de droits ou profiter d'un taux de droit préférentiel selon des contingents tarifaires permanents propres au pays établis par le Mexique. Parmi ces produits, on compte par exemple le lait en poudre, le lait évaporé et le lait concentré, le beurre, le fromage et les préparations à base de produits laitiers. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les réductions tarifaires particulières au Mexique en vertu de cet accord, consultez la liste tarifaire du Mexique (HS2012) (en espagnol seulement). Pour connaître les retombées du PTPGP pour le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire, consultez la page Le PTPGP et les exportateurs de produits agroalimentaires.
Le 20 novembre 2018, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont signé le nouvel Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM), qui n'a toutefois pas encore été ratifié. Si l'ACEUM entre en vigueur, l'ALENA/ACEUM et le PTPGP coexisteront en tant qu'accords de libre-échange (ALE). De ce fait, les exportateurs canadiens pourront choisir l'ALE qui offre le meilleur traitement préférentiel pour leurs produits, y compris les règles d'origine et les mesures tarifaires pertinentes. Bien que l'ACEUM préserve les engagements déjà en place entre les pays et que le Canada ait obtenu un certain nombre de résultats avantageux pour l'agriculture, toutefois, le nouvel accord aura également des répercussions sur les secteurs canadiens des produits laitiers, de la volaille et des œufs. Pour en savoir plus sur les retombées de l'ACEUM pour le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire, consultez les pages Faire des affaires aux États-Unis et au Mexique et ACEUM : Résumé des résultats atteints.
Grâce au PTPGP, à l'ACEUM ainsi qu'aux accords de libre-échange avec les pays de l'Union européenne (Accord économique et commercial global [AECG]) et avec la Corée du Sud (Accord de libre-échange Canada-Corée [ALECC]), le Canada deviendra le seul pays du G7 à profiter d'un libre accès aux marchés des Amériques, de l'Europe et de la région de l'Asie-Pacifique. Toutes les provinces et tous les territoires du Canada pourront profiter des retombées de ces ALE.
Nous pouvons vous aider à faire croître votre entreprise
Nous offrons aux entreprises canadiennes des secteurs de l'agriculture et de l'agroalimentaire des services gratuits d'information sur les marchés internationaux, qui comprennent :
- La détermination des tendances et possibilités nouvelles et existantes au sujet des différents marchés, secteurs et produits à l'étranger;
- L'établissement de prévisions concernant les tendances économiques, commerciales et de consommation;
- Une analyse des réseaux de distribution, notamment des plateformes internationales de commerce en ligne;
- Une analyse personnalisée répondant aux besoins uniques de votre entreprise.
Communiquez avec nous pour obtenir des services d'information sur les marchés :aafc.mas-sam.aac@canada.ca
L'ensemble des rapports d'analyse sur les marchés mondiaux sont accessibles sur la page Renseignements sur les marchés internationaux de l'agroalimentaire.
Accès aux marchés
Le Mexique a des exigences strictes en matière d'importation pour de nombreux produits et les exportateurs canadiens sont responsables de déterminer ces conditions d'importation en travaillant avec leur importateur mexicain. Toutefois, le Secrétariat de l'accès aux marchés (SAM) d'Agriculture et Agroalimentaire Canada est disponible en fournissant les services suivants l'information et le soutien liés à l'exportation. Le SAM peut également aider dans les cas où il n'y a pas de protocole sanitaire en place, permettant l'accès d'un produit canadien particulier au Mexique. Ce service offre un guichet unique dans le but d'aider l'industrie et les entreprises alimentaires canadiennes à accéder aux marchés internationaux.
Pour toute question sur l'exportation de vos produits agricoles ou alimentaires, ou pour obtenir de l'aide, communiquez avec le Secrétariat de l'accès aux marchés à l'adresse aafc.mas-sam.aac@canada.ca.
Contenu connexe
Pour trouver des salons professionnels, des délégués commerciaux sur les marchés, des outils de marketing et davantage de renseignements pouvant vous aider à atteindre vos visées commerciales à l'échelle internationale, consultez la page sur les services aux exportateurs de produits agroalimentaires.
Resources
- Agriculture et Agroalimentaire Canada. Le PTPGP et les exportateurs de produits agroalimentaires
- Agriculture et Agroalimentaire Canada. Faire des affaires aux États-Unis et au Mexique
- Cléroux, Pierre. Le Canada : une marque de commerce convaincante. Consulté le 19 août 2019.
- Global Trade Tracker, 2019.
- Gouvernement du Canada. Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) : Résumé des résultats atteints.
- Rodrigue, J et De la Huerta, D. et Ruiz, A. Service des délégués commerciaux, Affaires mondiales Canada : Webinaire avant l'événement Expo ANTAD & Alimentaria México, février 2019.
- Rodrigue, J. et Ruiz, A., délégués commerciaux (agroalimentaire) à l'ambassade du Canada au Mexique. Webinaire préalable au Salon international de l'alimentation (SIAL) : Doing Business with Mexico (Faire des affaires au Mexique), Affaires mondiales Canada, avril 2019.
- Rodrigue, J. Service des délégués commerciaux. Rétroaction: sous-secteurs de la bière, des spiritueux et du vin, 2019.
- Rodrigue, J. Service des délégués commerciaux. Rétroaction: considérations pour les exportateurs canadiens, 2019.
- Rodrigue, J. Service des délégués commerciaux. Rétroaction: le marché mexicain, 2019.
- Ruiz, A. Service des délégués commerciaux. Rétroaction: exigeances de la SENASICA, 2019.
- Négociations et accords de commerce - L'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM).
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